"Le chemin vers la paix intérieure commence ici"
Consultation à Petit-Bourg, Guadeloupe
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Acerca de
A propos de la CNV
Pourquoi non-violente ?
Marshall Rosenberg identifie trois approches négatives de la communication entre les personnes, dont il estime qu’elles « coupent de la vie », et produisent des états ou affects perturbateurs, tels que culpabilité, peur, honte, ou l’attente d’une récompense en retour de sa propre attitude.
A l’inverse, sa méthode se fonde sur l’idée centrale de bienveillance, laquelle ne renvoie nullement vers un angélisme béat « en mode bisounours » ; mais vers une bonne compréhension de ce qui va se jouer dans la relation de communication…
La CNV est en réalité une approche sereine et bien comprise de sa propre « responsabilité », dans cette relation. Responsabilité ne signifie pas ici « culpabilité ». Bien au contraire. Il s’agit d’exprimer une maîtrise de soi.
Pointons d’abord les trois approches négatives, que nous avons si souvent tendance à emprunter, spontanément.
La première repose sur le principe de la critique, quand je m’adresse à « l’autre » pour lui indiquer qu’il se trompe, qu’il a tort ; que ce qu’il dit, ou fait, est « mauvais ». Qu’il devrait faire ou agir autrement. C’est-à-dire comme JE pense. Bien sûr, on peut toujours « conseiller » à quelqu’un d’agir ou faire différemment. Mais où commence le conseil… et où commence le reproche… ?
La deuxième approche négative est celle qui ne laisse aucun choix à « l’autre ». Tu DOIS faire comme on te dit. Il y a un ordre donné, qui ne saurait être discuté. Cette communication coupe de la vie, car elle permet à l’autre de nier sa propre responsabilité : « je n’avais pas d’autre choix qu’obéir ». La soumission à l’autorité peut conduire aux pires bassesses, plus personne ne l’ignore depuis les expériences de Milgram sur le sujet.
La troisième approche négative est celle qui repose sur l’exigence, quand la communication fait peser la lourde menace d’une punition ou sanction, si l’injonction à faire n’est pas suivie. Si elle semble laisser un peu plus de liberté apparente que la précédente, en réalité cela revient au même : nous restons dans des schémas de communication qui imposent, plus qu’ils ne proposent.
Entrer dans une Communication Non Violente va inviter à repousser ces approches.
Ce qui suppose 1. de les identifier, de les repérer ;
et 2. de savoir les éviter, dans ces rapports à autrui, c’est-à-dire en prenant garde de ne plus les utiliser. Et plus ardu, dans sa propre manière de percevoir et recevoir ces approches négatives, lorsqu’elles nous sont adressées.
Enfin 3. d’y répondre, sans tomber dans l’un de ces trois pièges